GIACOMETTI > La Pomme Endormie, Lithographies
Estampe Vendue
Livre illustré par 8 lithographies originales hors texte d'Alberto Giacometti, texte de Lena Leclercq, 1961. Tirage du livre à 128 exemplaires, ici un des 108 sur papier Arches, signé au colophon par Lena Leclercq et Giacometti.
Imprimeur : Mourlot.
Eidteur : Barbezat
Dimensions du livre et des lithographies : 32 X 25.5 cm.
Référence catalogue Lust "les estampes de Giacometti" n° 128-147.
Très bon état.
Autres photos des lithographies de Giacometti sur demande.
"Les tourments de la fièvre ont lié leurs treille blanches
A ma vie ; et je porte enroulées à ma hanche
Les vrilles de la mort, et mûris sur mon front
La grappe des sueurs et l'oubli des chansons.
Mon coeur, je ne sais plus si nous nous reverrons
Dans la joie d'un printemps, si nous retrouverons
La force des iris, le vert en feu des branches,
La fraîcheur déroulée des grands fleuves qui penchent
Et l'ombre d'un nuage assouvi par le vent
Roulant sur la colline aux épines fleuries !
Rien de toi silencieux je ne sais plus, mon coeur,
Que ton sourire qui s'en va, en déserteur,
Jusqu'à des horizons tendus immensément
Et dont nulle maison n'accueillera la nuit."
"Le prisonnier malade". Un des poèmes de Lena Leclercq du livre. Autres estampes de GIACOMETTI
Imprimeur : Mourlot.
Eidteur : Barbezat
Dimensions du livre et des lithographies : 32 X 25.5 cm.
Référence catalogue Lust "les estampes de Giacometti" n° 128-147.
Très bon état.
Autres photos des lithographies de Giacometti sur demande.
"Les tourments de la fièvre ont lié leurs treille blanches
A ma vie ; et je porte enroulées à ma hanche
Les vrilles de la mort, et mûris sur mon front
La grappe des sueurs et l'oubli des chansons.
Mon coeur, je ne sais plus si nous nous reverrons
Dans la joie d'un printemps, si nous retrouverons
La force des iris, le vert en feu des branches,
La fraîcheur déroulée des grands fleuves qui penchent
Et l'ombre d'un nuage assouvi par le vent
Roulant sur la colline aux épines fleuries !
Rien de toi silencieux je ne sais plus, mon coeur,
Que ton sourire qui s'en va, en déserteur,
Jusqu'à des horizons tendus immensément
Et dont nulle maison n'accueillera la nuit."
"Le prisonnier malade". Un des poèmes de Lena Leclercq du livre. Autres estampes de GIACOMETTI